vendredi 5 février 2016

Nous étions les hommes de Gilles Legardinier

Nous étions les hommes de Gilles Legardinier


Auteur : Gilles Legardinier


Edition : Pocket
15042


463 pages


Date de parution : 09/01/2014


Prix : 7,70€









La quatre de couv'


Dans un grand hôpital d’Édimbourg, le docteur Scott Kinross et la généticienne Jeni Cooper travaillent sur la maladie d'Alzheimer

Alors que le mal progresse à un rythme inquiétant, frappant des sujets toujours plus nombreux, toujours plus jeunes, leurs conclusions sont effrayante : si ce fléau l'emporte, tout ce qui fait de nous des êtres humains disparaîtra.

Dans un monde où les intérêts financiers règnent en despotes, c'est le début d'une guerre silencieuse dont Kinross et Cooper ne sont pas les seuls à entrevoir les enjeux.

Face au plus grand danger que notre espèce ait connu, l'ultime course contre la montre a commencé...

Pourquoi ce livre


Encore et toujours voici un thriller de mon auteur favori Gilles Legardinier. Je vous parle souvent (trop souvent ? Non) de lui pour ses romans "d'histoire de vie" (ici, ou ) mais ici nous sommes dans le même style que L'exil des anges du même auteur.

Nous suivons ces deux scientifiques qui forment un binôme de choc et qui luttent corps et âme contre la maladie d'Alzheimer. Le docteur Kincross s'occupe des patients tandis que Cooper s'oriente plutôt de la partie analyses statistiques.

Ce que le duo va découvrir s'apparente à une révolution scientifique. Les enjeux sont colossaux, à tel point qu'ils vont être contactés par des investisseurs multimilliardaires qui vont tout se permettre pour mettre la main sur la découverte.

Une course pour sauver l'humanité s'engage alors entre les scientifiques et des organisations plus ou moins philanthropiques surtout plus ou moins légales.

Un roman extra, un univers scientifique accessible et détaillé, une quête palpitante, des rebondissements à tour de page, en somme un roman qui vous fera passer de nombreuses nuits blanches.

Extrait



" A cet instant précis, Scott pouvait encore espérer que la prévision de Jenni serait fausse. Il le souhaite même sincèrement. Il préférait voir ses patients aller mieux, même si c'était au prix d'une remise en cause de ses résultats. Les toubibs aussi ont besoin d'espoir."

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